•  

    ''Ma vie ressemble à une larme

     qui coulerait sur ta joue...

     enfin pas vraiment

     car bien souvent

     De la vie je me joue

     Et mes larmes sont des armes''

     

    conclut-elle, puis Anaïs regarda par la fenêtre, me signifiant ainsi que je devais partir, que notre rencontre était fortuite, notre amour violent faisait de nous des ennemis irréductibles, et qu'elle était prête à sortir les armes de leurs fourreaux pour tuer mes derniers espoirs.

      

    le petit dictionnaire des maux d'amour

     


  • Commentaires

    Aucun commentaire pour le moment

    Suivre le flux RSS des commentaires


    Ajouter un commentaire

    Nom / Pseudo :

    E-mail (facultatif) :

    Site Web (facultatif) :

    Commentaire :